Maximisez le REEE de votre enfant

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De iA Gestion privée de patrimoine, le 15 août 2022

Un diplôme d’études postsecondaires demeure l’une des formes d’éducation les plus précieuses, ainsi que la clé pour accéder à d’innombrables options de carrière. Mais le financement de ces études peut exiger des années d’économies de la part des parents et des grands-parents avant que votre enfant n’obtienne son diplôme d’études secondaires. Heureusement, un peu d’aide du gouvernement sous la forme d’un régime enregistré d’épargne-études (REEE) peut faire beaucoup.

Fonctionnement d’un REEE

Un REEE est un compte à l’abri de l’impôt qui offre une subvention gouvernementale jusqu’à concurrence d’un certain montant chaque année, ce qui augmente l’épargne des parents pour les études de leurs enfants. Il existe deux types de comptes REEE : les comptes individuels et les comptes familiaux. Presque n’importe qui au Canada peut ouvrir un REEE individuel pour un étudiant (bénéficiaire) résidant au Canada, tandis que l’ouverture d’un REEE familial est limitée aux parents ou grands-parents de l’enfant (ou des enfants). Il existe quelques différences entre ces deux types de comptes, notamment en ce qui concerne certaines stipulations relatives aux bénéficiaires, mais les détails pratiques sont les mêmes.

L’un des principaux objectifs est de contribuer régulièrement à un REEE et de profiter des subventions gouvernementales. Plus vous commencerez le régime tôt, plus votre argent pourra profiter d’une croissance composée à l’abri de l’impôt, ce qui pourrait créer un important fonds lorsque l’enfant sera prêt à poursuivre des études postsecondaires. Même s’il est préférable d’ouvrir un REEE le plus tôt possible, l’ouvrir plus tard peut tout de même faire une différence pour que votre enfant ait la capacité de payer le coût des études supérieures.

Vous pouvez détenir différents placements dans un REEE, y compris des actions, des obligations, des CPG, des fonds communs de placement et des FNB. Un conseiller en placements peut vous aider à choisir la bonne combinaison de placements pour votre régime. Les cotisations ne sont pas déductibles d’impôt, mais l’impôt sur la croissance des placements dans le régime est reporté jusqu’à ce que le bénéficiaire retire des fonds pour ses études. Étant donné que les étudiants se trouvent habituellement dans une tranche d’imposition inférieure, les retraits d’un REEE ne devraient pas entraîner une lourde facture fiscale.

Tirez parti des subventions gouvernementales

Les droits de cotisation à vie dans un REEE sont de 50 000 $ par bénéficiaire. Bien que vous puissiez cotiser 50 000 $ en un seul montant forfaitaire, il peut être avantageux de verser des cotisations régulières moins élevées. Pourquoi? Jusqu’à ce que le bénéficiaire atteigne l’âge de 17 ans, le gouvernement fédéral versera une somme équivalente aux cotisations à hauteur de 20 % par année dans le cadre du programme de Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE), jusqu’à concurrence de 500 $ par année.

Par conséquent, de nombreuses personnes visent à verser environ 2 500 $ par année pour maximiser la SCEE. Si vous cotisez 50 000 $ au cours d’une année, le REEE ne recevra que 500 $ en SCEE à vie, comparativement à la limite à vie de 7 200 $ si vous versez des cotisations annuelles régulières. Si vous ne maximisez pas la SCEE au cours d’une année donnée, vous pouvez reporter les droits de subvention inutilisés jusqu’à concurrence de 1 000 $ annuellement.

Qu’arrive-t-il à un REEE inutilisé?

Un REEE peut demeurer ouvert jusqu’à 36 ans, et il est flexible quant aux programmes admissibles (c.‑à‑d., l’enfant peut faire des études postsecondaires à temps plein ou à temps partiel, et se tourner vers l’université, le collège ou les métiers). Si le bénéficiaire initial ne poursuit pas d’études postsecondaires, vous pouvez changer le bénéficiaire dans un REEE individuel ou ajouter un autre bénéficiaire à un REEE familial.

Si le REEE n’est pas utilisé après 36 ans, les cotisations et la croissance des placements peuvent être transférées dans votre REER (ou celui de votre conjoint) sans qu’il y ait d’impôt à payer si certaines conditions sont remplies, tandis que la subvention et les gains réalisés doivent être retournés au gouvernement. Si vous choisissez de fermer le régime, vous récupérez les cotisations en franchise d’impôt, la croissance des placements devient un revenu imposable pour vous et la subvention doit être retournée.

Dans l’ensemble, un REEE est un moyen pratique et fiscalement efficace pour aider à couvrir les coûts toujours croissants associés aux études postsecondaires. Un conseiller en placements peut vous aider à :

  • remplir tous les documents requis pour ouvrir un REEE;
  • établir un calendrier de cotisations adapté à votre situation financière;
  • mettre en œuvre une stratégie de placement pour répondre à vos besoins particuliers (et à ceux de votre enfant);
  • maximiser la croissance des subventions de la SCEE et des cotisations à un REEE.

Nous pouvons vous offrir du soutien pour tous les aspects importants de votre plan de patrimoine, y compris les REEE, alors n’hésitez pas à communiquer avec nous aujourd’hui.

Cet article vise à fournir des renseignements strictement généraux sur certains sujets et ne doit pas être considéré comme un avis fiscal ou juridique. Veuillez obtenir un avis professionnel indépendant pour évaluer votre situation particulière. iA Gestion privée de patrimoine inc. est membre du Fonds canadien de protection des épargnants et de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières. iA Gestion privée de patrimoine est une marque de commerce et un autre nom sous lequel iA Gestion privée de patrimoine inc. exerce ses activités.

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Bien comprendre les frais

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Par iA Gestion privée de patrimoine, le 1 octobre 2024 La constitution d'un patrimoine est essentielle pour atteindre des objectifs financiers importants, qu'il s'agisse de financer les études d'un enfant, d'acheter une maison ou de profiter d'une retraite confortable et heureuse. Faire affaire avec un conseiller en placement est souvent un bon moyen d'épargner plus d'argent, d'obtenir une plus grande efficience fiscale et de faire croître le patrimoine à long terme grâce aux placements. Cependant, investir pour l'avenir peut s'avérer très complexe et nécessite généralement des compétences spécialisées, de l'expérience et de la discipline pour réussir. Il en va de même pour la planification de la retraite et de la succession, et c'est la raison pour laquelle de nombreuses personnes font appel à des conseils professionnels. Si vous faites affaire avec un conseiller en placement (ou songer à le faire), il est important de comprendre comment les conseillers sont rémunérés. Étant donné que la question des frais peut être compliquée, nous nous en tiendrons aux notions de base. Il existe trois formes principales de rémunération des conseillers : un modèle fondé sur les commissions, un modèle fondé sur les honoraires ou un modèle fondé sur le salaire. Modèle fondé sur les commissions. Les conseillers qui travaillent dans cette structure reçoivent une rémunération lorsque leurs clients achètent ou vendent un placement (par exemple, des fonds communs de placement, des fonds négociés en bourse ou des actions). La commission qu'ils perçoivent peut dépendre du type de placement, de la valeur en dollars d'une transaction ou d'autres variables. Les conseillers peuvent également recevoir une rémunération continue de la part de sociétés de fonds en fonction des fonds détenus par leurs clients (nous y reviendrons). Modèle fondé sur les honoraires. Les conseillers travaillant dans cette structure perçoivent des honoraires qui sont basés sur la valeur des éléments d’actif qu'ils gèrent au nom d'un client. Même si un client effectue de nombreuses transactions et utilise fréquemment certains services de conseil, les frais facturés restent un pourcentage prédéterminé (par exemple, 1 %) de la valeur de l’actif géré. Parfois, le pourcentage des frais diminue à mesure que les éléments d’actif du client augmentent. Modèle fondé sur le salaire. Un conseiller travaillant auprès d’une banque ou d’une caisse populaire gagne souvent un salaire annuel auquel s'ajoute une prime liée au rendement. Les conseillers salariés offrent de la valeur aux clients, mais ils peuvent ne pas détenir le même permis que les conseillers à commission ou à honoraires, ce qui peut limiter la gamme de services qu'ils peuvent offrir. Ratio de frais de gestion (RFG) Si vous investissez dans des fonds communs de placement, des fonds distincts ou des fonds négociés en Bourse, vous avez probablement entendu parler de RFG. Ils sont calculés comme un pourcentage (p. ex., 2 %) de l’actif d’un fonds et sont déduits de la valeur de votre placement. Les RFG sont utilisés pour rémunérer les gestionnaires de fonds et les courtiers, et pour payer les impôts afférents. Gestionnaire de fonds. C’est la firme qui s’occupe du fonds dans lequel vous avez investi. Ils établissent la stratégie et les objectifs du fonds et font appel à des gestionnaires de portefeuille qui décident quoi (et quand) acheter ou vendre, afin d'aider à améliorer les rendements du fonds et à gérer le risque. Ils s’occupent également des tâches administratives telles que la tenue des dossiers, ainsi que des services juridiques, comptables, d'audit et de garde. Pour ces tâches importantes, les gestionnaires de fonds gagnent une partie du RFG. Courtier. C’est la firme où votre conseiller est inscrit. Les courtiers maintiennent des registres de compte, produisent et livrent des relevés de compte et procurent la technologie pour l’accès en ligne des comptes. Les courtiers s’assurent également que leurs conseillers en placement satisfont à toutes les exigences réglementaires. Une partie de l’allocation du RFG d’un courtier (aussi appelée « commission de suivi ») est généralement versée aux conseillers responsables des tâches axées sur le client comme l’élaboration et le suivi du portefeuille et l’exécution des transactions. Impôts. Une portion du RFG est utilisée pour couvrir les impôts fédéral et provincial imputés sur les frais et services liés au gestionnaire de fonds et au courtier. Phase 2 du Modèle de relation conseiller-client (MRCC2) En 2009, le CRM1 a été lancée pour normaliser les exigences en matière d'information écrite pour les courtiers à l'échelle du secteur, afin d'aider les clients à comprendre les questions clés de la relation, comme la façon dont les courtiers déterminent la pertinence des produits, la façon dont ils traitent les questions de rémunération et les conflits d'intérêts potentiels, le processus de résolution des différends qu'ils suivent, etc. S'appuyant sur le CRM1 et mis en œuvre en 2017, le MRCC2 oblige les courtiers à fournir aux clients un rapport annuel personnalisé qui résume les frais et la rémunération liés au compte d'un client. Ce rapport se veut transparent et est rédigé dans un langage simple. Pour mieux comprendre les frais (par exemple, ce que vous payez et où vont les frais), consultez votre rapport annuel personnalisé. Au cours des années à venir, le MRCC3 entrera en vigueur et fournira des informations encore plus complètes sur les fonds de placement. Par exemple, les exigences en matière de rapport annuel sur le coût total permettront de divulguer tous les coûts inhérents à la détention d'un fonds, y compris les RFG et les RFO (c'est-à-dire les ratios de frais d’opération), afin d'offrir aux épargnants une plus grande clarté quant aux dépenses engagées dans le cadre du processus de placement. Les bons conseillers gagnent leur rémunération en apportant une valeur ajoutée considérable à leurs clients. Pour en savoir plus sur les coûts d’investir et les avantages des conseils professionnels, veuillez communiquer avec un conseiller en placement de iA Gestion privée de patrimoine.
Avez-vous besoin d’un accord prénuptial?

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Présenté par iA Gestion privée de patrimoine, le 10 septembre 2024 Les personnes qui se marient établissent généralement une liste de vérification pour s'assurer de ne pas rien oublier. Lieu et traiteur? C'est fait. Envoi des invitations? C’est fait. Choix des tenues vestimentaires et de la décoration? C’est fait. Contrat prénuptial – une minute, comment cela s'est-il glissé sur la liste? À l’approche du grand jour, il est facile d'oublier qu'un mariage peut se terminer par un divorce. En l'absence d'un contrat prénuptial (également appelé contrat de mariage), il peut en résulter des litiges sur les biens financiers et autres. Un contrat prénuptial est un document écrit et juridiquement contraignant qu'un couple signe avant de se marier. En cas de divorce, le contrat de mariage détermine les droits (par exemple, la répartition des biens). C’est tout à fait compréhensible que les personnes qui vont se marier hésitent souvent à signer un contrat prénuptial, car selon les futurs époux cela laisse supposer que la relation est vouée au divorce ou que le mariage n'est rien d'autre qu'un accord commercial. Ce n'est pas nécessairement le cas. Il s'agit d'une forme d'assurance. Lorsque vous souscrivez une assurance habitation, vous ne supposez pas que votre maison va brûler. Lorsque vous souscrivez une assurance invalidité, vous ne pensez pas que vous serez victime d'un accident grave. Vous voulez simplement avoir l'esprit tranquille en sachant que vous êtes protégé si quelque chose de grave devait se produire. Les avantages d’un contrat prénuptial Un contrat prénuptial encourage une communication ouverte avant le mariage sur les questions importantes de la vie. Vous divulguerez votre situation financière (bonne et mauvaise), vos principaux objectifs, votre approche de l'éducation des enfants, etc. Vous saurez également ce qui est important pour votre conjoint et quels sont ses besoins et ses préoccupations. Voici 10 raisons impérieuses de signer un contrat prénuptial : Vous souhaitez protéger vos biens existants (par exemple, une maison, des placements, des polices d'assurance, des bijoux ou d'autres biens ayant une valeur monétaire ou sentimentale) et vos futurs héritages. Il y a un déséquilibre important dans la valeur des biens que chaque personne apporte au mariage. Sans contrat de mariage, les biens combinés risquent d'être répartis de manière égale (plus ou moins), sans tenir compte de tout déséquilibre financier important. Vous possédez ou avez une participation dans une entreprise (en particulier une entreprise familiale) ou des biens immobiliers. Vous vous attendez à recevoir un héritage important ou un don financier de la part d'un membre de votre famille et vous souhaitez préciser l'utilisation de cet argent. L'un des futurs époux prévoit d'être un parent au foyer qui mérite une reconnaissance financière pour ses engagements en matière d'éducation des enfants, même s’il ne perçoit pas de revenus pendant ces années. L'un des futurs époux (ou les deux) est très endetté. Vous souhaitez maintenir un plan successoral existant afin que vos biens soient distribués conformément à vos souhaits à votre décès. L'un des futurs époux (ou les deux) est déjà divorcé et/ou a des enfants qui peuvent bénéficier d'une aide financière. Un contrat prénuptial peut rendre le divorce moins litigieux, faciliter un règlement plus harmonieux (ce qui peut se traduire par une réduction des frais d’avocat) et garantir une répartition équitable des biens. Le divorce est une cause fréquente de difficultés financières et de faillite, ce qui peut compromettre la santé et la stabilité financières à long terme. Au Canada, les lois relatives aux contrats prénuptiaux varient d'une région à l'autre. Il convient donc de connaître les paramètres et les limites qui s'appliquent à votre province ou territoire de résidence. Contrats postnuptiaux et accords de cohabitation Comme le contrat prénuptial, le contrat postnuptial est juridiquement contraignant et stipule comment les biens d'un couple sont distribués en cas de divorce. Mais, comme son nom l'indique, un contrat postnuptial est signé après le mariage. Les tribunaux examinent souvent attentivement un contrat postnuptial pour s'assurer de la validité des raisons pour lesquelles le couple a pris cet arrangement après avoir échangé ses vœux. Les accords de cohabitation diffèrent légèrement. En l'absence d’un contrat prénuptial, un couple en instance de divorce partage généralement ses biens de manière équitable. Cette mesure par défaut ne s'applique pas aux couples en union libre qui n'ont pas conclu d'accord de cohabitation. Par exemple, vous n'avez pas automatiquement droit à 50 % de la maison partagée, même si vous avez effectué 50 % des paiements hypothécaires et assumé 50 % des coûts d'entretien de la maison. Conservez tous les reçus et autres documents relatifs aux dépenses liées au logement et veillez à ce que votre nom figure également sur le titre de propriété du logement. Par ailleurs, un accord de cohabitation peut clairement (et légalement) indiquer la manière dont vous traitez les questions financières lorsque vous êtes ensemble, et ce qu'il advient de vos biens en cas de rupture de la relation. Si vous êtes fiancé(e) ou envisagez de vivre avec votre partenaire, ou si vous êtes déjà marié(e), contactez un conseiller en placement de iA Gestion privée de patrimoine qui pourra travailler avec votre conseiller juridique pour créer un contrat prénuptial ou postnuptial équitable et protéger vos actifs
Les conseils gratuits peuvent coûter très cher

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Présenté par iA Gestion privée de patrimoine, 17 juin 2024 Se méfier des conseils gratuits De nos jours, de nombreuses personnes se préoccupent davantage de leurs finances, et ce, à juste titre. L'augmentation des coûts, la précarité accrue de l'emploi et la perspective de financer des décennies de vie à la retraite ne sont que quelques-uns des facteurs qui peuvent vous empêcher de bien dormir. Comment joindre les deux bouts tout en épargnant pour l'avenir? S'il y a un moment où l'on a besoin de conseils financiers, c'est bien celui-là. Toutefois, la difficulté est de savoir à qui s'adresser pour obtenir ce genre de conseils. À qui pouvez-vous tout à fait faire confiance? Il est vrai que les conseils gratuits ne sont pas difficiles à obtenir. Grâce à l'Internet, vous avez un accès immédiat à un monde d'informations sur une multitude de sujets financiers. Il y a aussi les médias, traditionnels et sociaux, qui vous inondent d'articles, de billets de blog et de vidéos. Ajoutez à cela vos amis, votre famille et peut-être même votre coiffeur ou coiffeuse, et il est clair que tout le monde peut avoir une opinion sur ce que vous devriez faire avec votre argent. Les conseils financiers gratuits sont omniprésents. Mais qu'en est-il de leur qualité? Comme le dit l'adage, on en a souvent que pour son argent. De nombreux conseils douteux circulent dans le cyberespace. Certains sont bien intentionnés, mais malavisés ou non spécifiques, tandis que d'autres sont le fait d'escrocs qui tentent d'attirer des personnes sans méfiance et de les exploiter à des fins lucratives. Vous pouvez également rencontrer des récits faciles à comprendre et de vagues règles empiriques, telles que « posséder de l'or » ou « acheter et conserver ». À première vue, ces histoires simples offrent des certitudes dans un monde incertain. Malgré leur attrait inné, ces perspectives simplifiées peuvent s'avérer dangereuses pour votre santé financière. Les suivre aveuglément est à vos risques et périls. Qu'ils soient inexacts, simplifiés à l'extrême ou trop généraux pour s'appliquer à des circonstances particulières, ces « conseils » présentent la gestion financière comme étant facile. Bien sûr, s'il était facile de réussir financièrement, tout le monde serait riche, n'est-ce pas? En réalité, les décisions financières sont complexes. Ce que vous faites (ou ne faites pas) en matière de finances peut avoir un impact considérable sur votre bien-être présent et futur. Si vous avez une famille ou si vous possédez une entreprise, la complexité s'accroît. Une bonne planification financière ne se résume pas à la diffusion d'extraits sonores ou de clips vidéo. Il s'agit d'examiner attentivement l'ensemble de votre situation financière et la façon dont tous les éléments sont liés, puis d'élaborer des stratégies coordonnées et personnalisées qui répondent à vos besoins uniques. Il s'agit également d'avoir un « coach » de confiance à vos côtés pour vous aider à surmonter les inévitables mauvais jours où vous risquez de succomber à l'émotion et de prendre de mauvaises décisions concernant votre argent. C'est pourquoi de nombreuses personnes choisissent de travailler avec un conseiller financier. Les conseillers possèdent l'éducation, la formation continue et l'expérience du monde réel nécessaires pour répondre à vos objectifs financiers actuels et vous préparer à l'imprévu, tout en bâtissant votre patrimoine pour l'avenir. Bien que leurs conseils ne soient pas gratuits, vous en avez généralement pour votre argent. Non seulement les conseils financiers gratuits sont souvent inefficaces, mais ils peuvent aussi faire échouer vos efforts de création de patrimoine en vous orientant sur la mauvaise voie. En revanche, les investisseurs conseillés par des professionnels peuvent bénéficier d'une plus grande valeur à long terme. Selon un rapport publié en novembre 2022 par l'Institut des fonds d'investissement du Canada, les investisseurs conseillés disposent, après 15 ans, d'un patrimoine nettement plus important que leurs homologues non conseillés.1 Ce rapport fait également état de l'enquête Canadian Pollara Investor Survey de 2022, selon laquelle 92 % des investisseurs en fonds communs de placement et en fonds négociés en Bourse sont satisfaits de leur conseiller.2 Contactez-nous pour explorer les avantages potentiels d'une collaboration avec un conseiller professionnel. Ensemble, nous pouvons créer un plan financier conçu pour répondre à votre situation et à vos objectifs spécifiques, aujourd'hui et pour les années à venir. 1 https://www.ific.ca/wp-content/uploads/2022/11/Financial-Advice-in-Canada-Whitepaper-November-2022.pdf?id=27821&lang=en_CA 2 https://www.pollara.com/wp-content/uploads/2022/10/IFIC_2022_MF_ETF_Investor_Study.pdf
Dynamisez votre épargne-retraite grâce au REER

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Par iA Gestion privée de patrimoine, le 14 février 2024 Pour un très grand nombre de Canadiennes et de Canadiens, le régime enregistré d’épargne-retraite (REER) représente les assises de leur sécurité financière. Dans cet article, nous présentons les caractéristiques principales des REER et leurs nombreux avantages. Fonctionnement du REER Vous pouvez cotiser à un REER à compter de la première fois où vous gagnez un revenu admissible jusqu’au 31 décembre de l’année de votre 71e anniversaire. Chaque année d’imposition, vous pouvez verser des cotisations pendant l’année civile et les 60 premiers jours de l’année qui suit. Par exemple, pour l’année d’imposition 2024, vous pouvez cotiser tout au long de 2024 et des 60 premiers jours de 2025. La cotisation annuelle maximale à un REER est de 18 % de votre revenu gagné lors de l’année d’imposition précédente, jusqu’à concurrence de la limite permise. Par exemple, le plafond de cotisation au REER pour 2024 est de 31 560 $, alors que le plafond pour 2023 était de 30 780 $. Vous trouverez les plafonds annuels sur le site Web du gouvernement du Canada. Veuillez également prendre note de ce qui suit : Si vous ne versez pas le montant maximal au cours d’une année donnée, les droits inutilisés sont reportés indéfiniment. Si vous participez à un régime de retraite d’employeur, votre facteur d’équivalence (FE) réduira le montant auquel vous avez droit. Le montant du FE s’affiche sur votre feuillet T4. Certains employeurs offrent une cotisation de contrepartie intégrale ou partielle (p. ex., si vous versez 4 % de votre salaire à votre régime de retraite, votre employeur pourrait verser une cotisation de contrepartie de 2 %). Vérifiez les détails auprès de lui. Si vous avez cotisé 2 000 $ de trop à votre REER (selon votre avis de cotisation de l’Agence de revenu du Canada [ARC]), vous devrez payer une pénalité de 1 % par mois tant que le montant excédentaire restera dans votre compte. Vous pouvez retirer des fonds en franchise d’impôt de votre REER pour faire une mise de fonds sur votre première maison. Le Régime d’accession à la propriété (RAP) comporte des règles et des modalités de remboursement précises. Parlez à votre conseiller pour voir si le programme convient à votre situation. Si vous planifiez un retour aux études à plein temps, le Régime d’encouragement à l’éducation permanente (REEP) vous permet de retirer jusqu'à 10 000 $ de vos REER par année. Ce plafond peut atteindre 20 000 $ selon certaines conditions. Comme c’est le cas pour le RAP, vous devez respecter les règles et les modalités du gouvernement du Canada. Vous pouvez cotiser au REER de votre conjoint ou conjoint de fait si vous avez le revenu le plus élevé. Vous recevriez alors une déduction qui pourrait réduire votre facture d’impôt. Consultez votre conseiller pour connaître les diverses règles entourant les REER de conjoint. Principaux avantages du REER Le REER offre un allégement fiscal immédiat, car le montant de vos cotisations est déduit de votre revenu brut de l’année, ce qui signifie moins d’impôt à payer. Beaucoup de gens investissent les économies d’impôt ou s’en servent pour réduire leur dette. Peu importe l’approche que vous adopterez, vous solidifierez votre situation financière. De plus, l’impôt sur toute croissance de votre REER découlant de gains en capital, de dividendes ou d'intérêts est reporté jusqu’à ce que vous commenciez à retirer des fonds lors de votre retraite. Cette caractéristique vous permet de capitaliser la croissance de votre REER sans conséquence fiscale immédiate, de sorte que votre argent travaille plus fort pour vous et vous aide à faire fructifier votre patrimoine plus rapidement en vue de la retraite. Le REER vous procure également de la souplesse. Vous pouvez investir dans des actions, des obligations, des fonds communs de placement, des fonds négociés en bourse (FNB), des certificats de placement garanti (CPG) et plus encore. Pour plus de commodité, envisagez d’établir un plan de cotisations préautorisées. Lorsque vous aurez décidé du montant à investir, à quel intervalle et dans quels produits financiers, l’argent sera automatiquement placé selon vos instructions. Par exemple, votre plan de cotisations préautorisées pourrait affecter 250 $ par mois à un certain fonds commun de placement. Un conseiller en placement de iA Gestion privée de patrimoine peut vous aider à établir et à maintenir une stratégie REER qui vous convient. Communiquez avec un conseiller dès aujourd’hui.
L’année tire à sa fin : comment gèrerez-vous vos dépenses?

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Par iA Gestion privée de patrimoine, le 23 novembre 2023 À l’approche de la fin de l’année, le moment est tout indiqué pour évaluer vos dépenses avec l’objectif de redresser vos finances. Nouvelle année, nouveau départ. Lorsque vous avez le contrôle de vos dépenses et que vous êtes en mesure d’accumuler votre patrimoine, au lieu de vous endetter davantage, vous facilitez l’atteinte de vos objectifs financiers à court et long terme. Comment réussir la gestion de vos dépenses à la fin de l’année? Voici quelques conseils judicieux. Élaborez un plan de patrimoine. Si vous n’avez pas encore retenu les services d’un conseiller, il s’agit d’une bonne résolution pour le nouvel an. Nous avons tous des objectifs précis à atteindre et un plan rigoureux peut vous donner un coup de main en 2024. Un plan de patrimoine développé par un professionnel tient compte de vos circonstances, de vos objectifs, de votre horizon temporel et de votre tolérance au risque. Il vous aidera à épargner, investir, gérer votre dette et optimiser votre situation fiscale. De plus, vous pouvez l’adapter en fonction de l’évolution de votre situation et de l’étape de votre vie. La création et le maintien d’un plan de patrimoine personnalisé requièrent une formation, des compétences et une expérience uniques, d’où la valeur d’un conseiller qualifié. Dressez un budget. L’établissement du budget est un élément-clé de la planification du patrimoine. À la base, un budget suit vos sources de revenus et vos dépenses sur une période donnée (chaque mois, par exemple). Il vous offre un aperçu constant de votre gestion de l’argent et vous permet d’identifier les éléments à améliorer. Lorsque le temps des Fêtes bat son plein, il est facile de trop dépenser lors d’événements sociaux et pour des cadeaux. En cette fin d’année, portez une attention particulière aux dépenses et à votre dette en établissant un budget raisonnable et en le respectant. Consolidez votre dette. La somme que vous dépensez pendant les Fêtes est essentiellement discrétionnaire, mais quelques fois, il est impossible de ne pas s’endetter davantage. La plupart des gens ont des paiements hypothécaires, un prêt automobile, des dépenses à faire sur la maison, etc. Un conseiller peut analyser vos dettes et collaborer avec vous et votre institution financière afin de déterminer s’il est avantageux de procéder à une consolidation et de réduire le taux d’intérêt applicable à un prêt ou une marge de crédit. Souvent, la consolidation de vos dettes représente un excellent moyen pour réduire vos dépenses globales. Engagez-vous à épargner. Certes, il est important de réduire votre endettement, mais épargner l’est tout autant. Une bonne stratégie consiste à vous payer en premier en déposant un montant fixe (10 % par exemple) de chaque paie dans un compte d’épargne ou d’investissement. Ainsi, vous accroissez votre patrimoine à long terme, tout en ne succombant pas à la tentation de trop dépenser. Par ailleurs, la fin d’année est une excellente occasion de prévoir un montant à investir dans des régimes enregistrés l’année suivante. Le 1er janvier, par exemple, vous pouvez commencer à verser les cotisations annuelles à votre REER ou CELI. Vous pourrez non seulement réduire vos dépenses en vous forçant à épargner, mais vous bénéficiez également des avantages fiscaux plus tôt dans l’année. L’épargne prend aussi la forme de l’argent que vous mettez de côté pour les urgences, comme une perte d’emploi, d’importantes réparations à un véhicule ou à la maison, une maladie grave, etc. Personne ne sait quand nous aurons un besoin urgent d’argent. Par conséquent, un fonds d’urgence (plusieurs experts recommandent un montant correspondant aux dépenses du ménage sur 3 mois) est primordial pour garantir votre préparation et votre tranquillité d’esprit. Il est toujours judicieux de garder le contrôle de ses dépenses. La fin d’année sert souvent de motivation aux personnes qui veulent prioriser leurs finances et apporter des changements l’année suivante.